L’amour ne connaît pas la crise !

L’amour ne connaît pas la crise !

En temps de crise, est-il plus facile d’être à deux ? 79,42 % : Oui, on se sent plus fort pour affronter la morosité du quotidien

La situation en France n’est pas au beau fixe, et ce dans plusieurs domaines : emploi, croissance… Le mot « crise » est sur toutes les lèvres et nombreuses sont les personnes qui se sentent menacées par la conjoncture économique. Pourtant, certains bastions résistent encore : l’amour, le bonheur et la passion ne connaissent pas la récession !

78,45 % des personnes interrogées se sentent concernées par la crise. Un tiers d’entre elles confie la ressentir au quotidien et se dit impacté directement par ses effets et 49,17 % déclarent que c’est surtout la morosité ambiante qui les affecte. Pour une grande majorité du panel, le climat actuel est en effet stressant, pessimiste et déprimant. Cependant, pas question de s’apitoyer, seuls 6,32 % ont choisi l’adjectif « malheureuse » pour décrire l’humeur générale des personnes qui les entourent.

Cependant, le pessimisme ambiant ne semble pas avoir d’influence sur la recherche de l’amour, du bien-être et de l’épanouissement personnel. En effet, 63,3 % ne pensent pas que la situation actuelle complique leur quête de l’amour, mais qu’au contraire, l’humeur générale incite plus vivement les gens à rechercher des moments de complicité et de bonheur à deux. Car oui, il est plus simple d’appréhender les joies et les peines en couple, et construire une relation amoureuse permet d’avoir plus facilement confiance en l’avenir (87,68 %).

« La crise économique qui s’éternise redonne de l’importance à certaines valeurs fondamentales. La solidarité, l’humanisme et l’amour prennent aujourd’hui le pas sur les mécanismes de consommation forcenés que nous avons connus. D’ailleurs, 75 % des célibataires interrogés affirment que la crise ne modifie pas leurs critères de recherche : ils préfèrent en effet fonder leur relation sur les qualités humaines de leur partenaire, plutôt que sur sa stabilité financière », souligne Sabrina Philippe, psychologue et conseillère eDarling.

Enfin, si 48,32 % du panel affirment réduire leur budget sorties et cinéma, la crise ne semble pas pour autant impacter le budget consacré à la séduction et aux petites attentions. 54,18 % des personnes interrogées déclarent ne pas avoir modifié leur budget « achats pré-rendez-vous amoureux », tels que nouveaux vêtements et soins pour le corps, et 61,99 % n’ont rien changé aux dépenses allouées aux petites attentions, fleurs ou chocolats.

Dans les médias aussi…

A la question : « Les sujets plus légers (en rapport avec les thèmes de l’amour, du sexe, de la mode, des people) dans les média, qu’en pensez-vous ? », plus de 45 % affirment que cela leur fait du bien et apporte de la légèreté dans leur quotidien. Seuls 8 % indiquent que ces thèmes sont inappropriés au vu de la situation économique actuelle.

*Etude eDarling réalisée auprès de 516 membres français célibataires.